Témoignages texte

J’étais catholique pendant mon enfance jusqu’à environ dix ans. Puis, mon père a découvert les églises évangéliques. J’ai participé pendant quelques années au club des enfants de l’église, mais je n’étais pas intéressé. J’ai donc choisi de vivre ma propre voie.

Dans ma vie, j’ai toujours eu peur de manquer d’argent, alors j’ai beaucoup travaillé. J’ai exercé en tant qu’ajusteur monteur dans le domaine de l’aéronautique, mais aussi dans l’immobilier (maçonnerie, électricité, plomberie…). Je n’avais pas fini un travail que j’en cherchais encore et encore. Jusqu’au jour où, à force de travailler, je suis tombé lentement dans la dépression.

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Sébastien Obierti

J’ai eu la chance de naître dans une famille chrétienne. J’ai donc appris très jeune à connaître Dieu. J’aimais Dieu et je savais qu’il entendait mes prières, même les plus secrètes, puisqu’il y répondait. Avec le temps, je me suis malheureusement laissé séduire par le monde et ses plaisirs, et mon cœur s’est endurci peu à peu. J’en suis arrivé à abandonner Dieu et sa Parole. Je n’avais plus aucune communion avec lui. Certes, je continuais de venir à l’église tous les dimanches. Je m’y sentais bien mais je n’entendais plus rien. J’étais devenu un spectateur sourd. Je savais pourtant qu’il me fallait faire un choix : suivre Dieu ou le monde, mais pas les deux. Pendant des années, j’ai remis à plus tard cette décision si importante pour ma vie. Je pensais repousser ce choix mais en réalité, tant que je refusais d’accepter Dieu dans ma vie, je choisissais la mort.

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Michaël Larroque

Libéré de la drogue

C’était un soir d’hiver en 1995, le sol était couvert de neige. J’étais à l’arrêt dans une voiture avec un ami où nous venions de prendre de la drogue. Je m’en souviens comme si c’était hier. Après avoir regardé mon compagnon d’infortune, je lui lançai : « Ce n’est pas ça la vraie vie, je crois qu’il y a mieux ». Il me parla alors de l’espérance qu’il plaçait dans son grand frère, je lui parlai de Jésus et des témoignages que j’avais entendus lorsque j’étais enfant. Même si je n’avais pas encore accepté le Seigneur à ce moment de ma vie, je connaissais en théorie la réalité de cet amour. Quelques mois plus tard, à l’âge de 23 ans, j’expérimentai la grâce de Dieu. Ce fut le début d’une aventure pleine de défis.

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Patrice Martorano

Né dans une famille maladroitement chrétienne, catholique, j’ai vécu comme une obligation, ce qui sera plus tard un rejet même, le fait de devoir aller à l’église le dimanche matin, suivre le catéchisme, être « enfant de chœur », ceci en dehors d’une quelconque croyance. L’adolescence aidant, la découverte d’une certaine liberté, les copains, le sport ou les autres activités de loisirs, m’ont fait totalement oublié l’existence de notre Dieu, de son Fils Jésus-Christ, et une vie sociale, ordinaire, s’est installée autour de moi.

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Jean-Lou Ouvrard

Délivré de l’occultisme

Mon nom est Franck Alexandre, j’ai grandi dans les Ardennes, dans une famille modeste. Mon père était au chômage et ma mère tirait les cartes. Mon frère se droguait, et moi-même j’étais très violent et pratiquais les arts martiaux. Souvent ma mère me faisait venir auprès d’elle pour me tirer les cartes. Elle était connue comme une devineresse, et elle pratiquait en outre le pendule et la chiromancie. Un jour, une cartomancienne proposa à ma mère d’aller faire un stage de spiritisme, pour qu’elle ajoute cette pratique dans son cabinet, afin de gagner plus d’argent. Elle revint enchantée par le stage et commença à pratiquer le spiritisme (évocation des esprits des morts). Sa clientèle augmenta, et elle gagnait beaucoup d’argent. Mais cet argent partait aussi vite qu’il était entré.
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Franck Alexandre

Dieu, si tu existes, parle-moi !

Je suis né dans une famille chrétienne. Mon arrière-grand-père était pasteur, mon grand-père était pasteur et mon père était pasteur… j’ai grandi dans un climat très « pasteurisé ». Dès mon enfance, j’ai participé tous les dimanches au club des enfants de l’Eglise et je me rappelle avoir levé plusieurs fois la main pour donner mon cœur à Jésus. Mais cette décision restait sans lendemain.

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Jean-Marc Botteron

Je rencontre beaucoup de personnes qui ne comprennent pas la différence entre la religion et Jésus lui-même. Je dis souvent que nous n’adhérons pas à une religion, mais bien plutôt que nous nous lions de cœur avec Jésus vivant. Voici le témoignage d’un ami d’origine berbère, Saïd Oujibou, qui nous permettra de mieux comprendre la différence essentielle entre une religion qui présente Dieu et une relation de cœur avec lui. (suite…)

Saïd Oujibou

De tradition catholique, je croyais en l’existence de Dieu, mais ma croyance était davantage fondée sur une crainte superstitieuse que sur la véritable personne de Dieu.
Je suis issue d’une famille de six enfants où le malheur avait le visage de la dépression de notre mère, celui de l’alcoolisme de notre père qui, victime d’une escroquerie, vit sa famille sombrer dans une grande pauvreté (il mourut d’un accident de la circulation alors que je n’avais que 13 ans).
Enfant, j’étais pleine d’angoisses et cherchais tous les soirs refuge auprès de Dieu « en récitant mes prières ». Je croyais ainsi pouvoir éloigner le malheur, voire conjurer le mauvais sort qui s’acharnait sur notre famille. (suite…)

Marlène Besse

Je suis né dans une famille catholique, où on appliquait tant bien que mal, les préceptes religieux traditionnels. Mais nous le lisions la Bible qu’en des occasions bien exceptionnelles, notamment la période de Noël. Bon vivant jusqu’à 23-25 ans, j’ai été arrêté dans ma folie démesurée des plaisirs du monde, par le décès brutal d’une de mes grandes sœurs, en mai 1992. Je fus très profondément marqué par cette mort, car ma sœur, pour avoir réussi dans ses études et sa vie professionnelle, était mon modèle : mon monde s’écroulait véritablement. Et du coup, tous les plaisirs du monde n’avaient plus aucun intérêt pour moi. (suite…)

Henri-Pierre Awonguino-Ndlia

J’ai eu un grand père hors du commun. Il était réfugié politique espagnol. Quand la guerre a éclaté sous Franco, il a fui le pays. Il s’est retrouvé dans un camp de concentration à Argelès-sur-Mer. Il s’est évadé du camp et a pu échapper à une extermination. Dans les années qui ont suivi, une révolte a jailli dans son cœur et il est devenu aigri. Il entrait souvent en conflit avec son épouse. Il a commencé à la maltraiter.

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Didier Santana
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